Vols 94/95 – Arguel

Date : 31/10/2019
Site : Arguel – Besançon
Vent : Nul, léger nord
Brise : inexistante
Voile : BGD Echo
Temps de marche : 5′
Heure de décollage : 11:36 et 12:47
Temps de vol : 6 et 8′

Décollage : Dos voile les deux fois. La vidéo ci-dessus est la vidéo du deuxième décollage. On voit pas mal de petites erreurs auxquelles il faut toujours que je pense… Je ne décompose toujours pas assez mon décollage. La première erreur c’est que je n’ai pas les mains en « chandelier » ce qui a pour conséquence de gonfler mes bords d’aile avant mes caissons centraux. La voile ne crevette pas non plus mais elle a cette petite tendance. Ensuite, je n’attends pas assez la voile, je pourrais attendre plus le gonflage avant de tempo et ensuite seulement prendre la décision d’envol et engager ma course d’élan. Là je gonfle une nouvelle fois pour décoller par pour gonfler la voile. C’est une erreur, d’autant que sur ce deuxième déco, contrairement au premier, il y avait un peu d’air… je pouvais donc faire en sorte de faire une meilleur prise de décision, ça règlerait aussi mon « problème » de cap, qui m’a joué un tour déjà par le passé.

Vol : Premier test de ma nouvelle sellette Success 3. La sellette est très confortable mais je ne m’attendais pas du tout à ce ressenti. J’étais très confort dans ma radical 3 et je dois dire que la radicale est très rassurante car très enveloppante, on se sent faire corps avec la sellette et je trouve ça très agréable. La Success 3 est assez enveloppante mais comme je n’ai pas les jambes prises par les harnais cela donne une sensation de liberté bien plus importante. Et je pense que sur les vols long cela sera plus agréable. Néanmoins, j’ai eu l’impression que ça avait pour conséquence directe de me faire ressentir la masse d’air de manière bien plus forte. Je me suis presque sentis secoué pendant le vol alors que c’était plutôt très calme ! Donc il faut que je continue à tester… mais j’ai bien aimé le repose pied 🙂 En tout cas, le fait de plus ressentir la masse d’air n’est pas un mal en soit…

Atterrissage : Sans soucis et justement, à l’atterrissage j’ai marché avec la voile au dessus de la tête, assez longuement, ce qui me fait dire que même avec peu de vent ou peu de vitesse je peux la garder au dessus de la tête au décollage… alors pourquoi est-ce que je bloque sur ce point ? Je pense qu’avant de m’attacher à la voile il est nécessaire que je refasse l’intégralité de mon chemin mental pour le décollage, cela m’évitera de me précipiter…

Remarques : Vol avec Hugues, merci Hugues 🙂