Date : 16 Septembre 2019 Site : L’épine / Lac d’aiguebelette Vent : N Brise : Installée par bouffes au décollage Voile : BGD Echo Heure de décollage : 16h40 Temps de vol : 1h36 Décollage : Face voile, tempo probablement un peu trop tôt, du coup j’ai dû charger la voile plus que ce à quoi je m’attendais et cela m’a permi d’être relativement progressif. J’aurai aimé qu’on puisse me filmer de l’extérieur pour avoir une meilleur idée de ma technique car je pense que je me suis retourné un petit peu tôt sans doute, mais bien passé quand même au final.
Vol : des plafonds très sympa ce jour à Aiguebelette ! Je suis parti en direction de Chateau Richard puis direction le relais du Mont du Chat. Je n’ai, une nouvelle fois, pas réussi à l’atteindre, mais c’est sans doute faute de persévérence… Je remarque une nouvelle fois que les pleins intermédiaires en direction du relais ne m’ont pas beaucoup servis… car Gilbert qui décolle après moi se retrouve devant moi au relais et me met la misère au retour… je ne fais que chercher à optimiser mais en fait ça ne sert pas toujours 🙂 Cependant, le plein au niveau de chateau Richard au retour, à presque 2000m en valait vraiment la chandelle ! J’ai filé jusqu’au fond du col du crucifix et au pied du mont grelle juste en me laissant porter. En complément, au niveau du Mont Grêle (d’ailleurs comment on écrit Mont Grêle ? J’ai trouvé 3 écritures différentes ! – Grêle, Grelle et Grèle sur trois sites de cartographie de référence…-) et des poteaux électriques, j’ai vraiment bien fait de persister pour trouver la faille et réussir à monter ! J’ai bien travailler la plage de vitesse basse c’était top. J’aurai pu continuer à cheminer le long des falaises pour passer côté Chartreuse, mais je n’avais pas trop le temps ce coup-ci ! Je suis donc retourné du côté de l’atterrissage, sans avoir non plus à refaire le plein. J’ai fini par des petits wing peu engagés pour bien travailler la gestuelle.
Atterrissage : très bien sur le circuit classique. Remarques : vol avec les zelephs mais j’avais oublié ma radio… donc Yannis m’en a prêté une mais on n’y entendait pas grand chose 🙂
Date : 15 Septembre 2019 Site : Verel Pragondran Vent : NNO Brise : Installée au décollage mais pas franche, rouleaux présents (il n’y a qu’à voir le décollage de Mathurin…) Voile : BGD Echo Heure de décollage : 16:10 Temps de vol : 2:00
Décollage : Dos voile, avec une prise d’élan progressive, j’ai eu l’impression d’être très propre. Vol : Je pense l’un des plus beau vol de ma jeune carrière de par mes choix parfois couillus mais qui ont payé. Parti de Verel, j’ai attendu quelques minutes au dessus du décollage voir si Mathurin m’accompagnait mais visiblement son premier déco raté l’a mis bien en retard. J’ai donc commencé à tracer ma route vers le Revard. Un peu avant l’Orionde je sens que ça monte un poil alors je tente ma chance mais en fait ça perce assez vite à ce niveau là… Je continue donc vers l’Orionde en me faisant plomber, puis je prends l’ascenseur de l’Orionde. Je négocie mal mon dernier virage de « sortie » de thermique si bien que je sors effectivement du thermique sans vraiment le vouloir, du coup je me jette sous les falaises en cherchant l’appuis dynamique… mais il y est très faible… Je prends direction le Pertuiset et je me crois perdu en arrivant à son niveau, je fais donc demi-tour en me disant que je ne le passerai pas et revenir sur mes pas vers l’Orionde… je file donc tout droit vers le sud… avec le vent du nord je me dis que ça portera sans doute mieux que contre le vent, et mon choix à payé : je file très progressivement mais très sûrement vers le Sire en trouvant un appuis faible mais présent. Juste avant le Sire, j’arrive à monter au dessus des falaises et je vois Joël Riss s’envoler de Sire Nord. De mon côté ça monte bien assez régulier sans être trop tonique, je vais donc voir au dessus du déco de Sire si j’y trouve un appuis… et là magie un petit truc me fait monter… du coup, je prends le risque d’aller au mont Kamuniak c’était presque couillu de passer par là car si ça plantait je pouvais potentiellement me retrouver sous le vent du Sire… je me retrouve au niveau de la crête qui file au Nivolet et je me retrouve donc à la sillonner pour aller jusqu’à la croix. Retour de la croix je suis moins serein lorsque je prends un peu une dégueulante… mais bon gré mal gré j’arrive de nouveau au mont Kamuniak où je trouve un petit appuis me permettant de remonter de quelques mètres. Ne voulant pas risquer le sous le vent du Sire, je prends l’option de passer directement au dessus du chalet et du déco de Sire Nord… ça passe ! Me revoilà du bon côté, je me dis que ça vole aujourd’hui donc je tente d’aller au Revard. Je chemine, et m’arrête à un simplement moment vers le Pertuiset pour prendre une ascendance… qui ne m’aura servi à rien car je suis reparti à la même altitude et au même point suite à la dégueulante de sortie… Je contourne le Pertuiset avec une autre aile plus « gun » qui reste plus haut sans difficulté, arrivé sous les fermes, je remonte tranquillement en S. Puis n’arrivant plus à monter comme je le souhaite, je prends l’option de faire une laisse de chien autour du « toboggan » du restaurant. J’arrive assez bas (1350 environ) sous le Revard. Je trouve un petit appuis, que je prends volontiers… et je travaille mes S à basse vitesse, et ça fini par payer ! J’arrive à remonter au-dessus du Revard ! Je me dis que tant qu’à être là, je vais filer jusqu’à la tour des Ébats… je me mets à califourchon sur l’arête et je file jusqu’à la tour où je fais demi-tour. Mini bout d’appuis au bout de la crête mais rien de franc. Le doute s’installe… est-ce que je vais réussir à revenir ? Je chemine jusque sous le Revard… j’arrive un poil plus bas. Je m’avance jusqu’au toboggan avant de trouver un appuis, mais le mini-thermique est encore là. Les autres ailes plus au large du relief ne remonte pas… mais moi oui ! Une Riot se met d’ailleurs à m’imiter pour remonter elle aussi… et je ressors au dessus du Revard après plusieurs minutes de travail ! J’entame donc sereinement mon retour vers Verel, le long du relief du haut. Arrivé vers le Malpassant je me laisse glisser pour faire des wings que je ne maîtrise décidément pas encore. Je file faire une série de 360 vers l’atterrissage et je me pose comme une fleur… Ravi de mon vol ! Atterrissage : Parfait comme une fleur face au nord à Montagny. Remarques : très très content.
Date : 14 Septembre 2019 Site : Le Revard 4 vallées Vent : SSO Brise : Installée face au déco Voile : BGD Echo Heure de départ : 15:53 et 17:19 Temps de vol : 21′ et 10′ Décollage : Premier vol face voile, la voile est partie bien sur la droite du coup j’ai bien compensé pour la redresser et c’était propre puis bonne tempo et course d’envol plus progressive que d’habitude. Deuxième décollage : le voile nuageux de cirus s’est renforcé au dessus de nous en altitude ce qui a calmé la brise. J’ai donc fait le choix d’un décollage dos voile, bien passé sans remarque particulière. Exercices en vol : premier vol : tenir en l’air encore des virages trop appuyés. puis quelques exercices. Deuxième vol : même pas cherché à tenir : je suis allé directement travailler les wings au dessus de l’atterrissage… et je dois dire que c’est la première série de wing où je me suis senti parfaitement dans le tempo avec le bras haut qui s’imposait naturellement et la voile qui plonge sur l’axe de tangage… J’espère être capable de le refaire. Atterrissage : Premier atterrissage avec un bon flare bien posé. Deuxième moins bien j’ai finalisé mon freinage une seconde trop tôt. Remarques : Vol avec Yannick x2
Date : 13 Septembre 2019 Site : Verel Vent : NNO Brise : Installée face au déco Voile : BGD Echo Heure de départ : 16:27 Temps de vol : 2:13 Décollage : Dos voile bien dans le rythme. Vol : Beaucoup de voiles au décollage et autour, beaucoup d’accro qui s’entraînaient pour la coupe Icare qui approche ! Le vol s’est très bien passé… J’ai choisi de travailler un peu le pilotage en prenant l’ascenseur de Verel… puis voyant Marc déjà bien au loin sous l’Orionde, j’ai mis le booster, pour aller jusqu’à l’Orionde moi également. Arrivé là-bas, je vois Marc « en perdition » qui n’a pas réussi à raccrocher le relief du dessus. Je prends mon ascendance quand j’ai fini par la trouver… puis je repère la voile de Bi de Sylvain. Me voilà juste sous les falaises de l’Orionde, presque un poil juste pour raccrocher le relief, mais en prenant direction le Sire j’ai rattrapé le cailloux et c’est monté progressivement. De-là nous avons joué le long de la falaise pendant près de 1h30 tous les 4 (bah ouais ils sont deux dans le bi !). J’ai un peu trop appuyé en commande certains de mes virages, il faut que j’y fasse attention afin de ne pas créer de ressources en sortie de virage. Après nous sommes redescendus avec Marc en faisant presque du touché de stab… et de nouveau quelques exercices. Atterrissage : face au nord très propre (non filmé ?!) Remarques : Vol avec Marc et Sylvain.
Date : 12 Septembre 2019 Site : Verel Pragondran Vent : N Brise : Installée face au déco, faible Voile : BGD Echo Heure de départ : 18h00 Temps de marche : 44′ Denivelé/Distance de marche : 600D+/4,2km Temps de vol : 24′ Décollage : une première tentative face voile que j’ai avorté car la tempo a visiblement été trop forte et trop tôt… la brise faiblissante, j’ai préféré faire un beau dos voile. Exercices en vol : Tenue de voile. Puis des petits wings pas encore en rythme et 360 placement sellette. Vol du soir tout tranquille. Atterrissage : face au nord sans soucis. Remarques : Nombreuses voiles en l’air, dont Sylvain avec son Icaro. Merci d’ailleurs pour la vidéo et les photos.
Date : 07 Septembre 2019 Site : Montlambert Vent : nord Brise : installée face au déco Voile : BGD Echo Heure de départ : 09h55 Temps de marche : 1:05 Dénivelé et distance de la marche : 4,1kg pour 620D+ Temps de vol : 1:09
Décollage : face à la voile, pour bien la voir monter pour la première fois 😁. Bien montée aux avants, j’étais plus tranquille que les fois précédentes en face voile. Moins de précipitations. Je pourrais garder la voile au dessus de la tête encore plus longtemps avant de me détwister pour mieux « sentir l’air ». Il faut dire que 15 secondes avant mon décollage, un mec a fait n’importe quoi en partant avec un double twist : retour au sol éclatage de face contre le sol… C’était pas drôle à voir… De mon côté, en fait, ça s’est très bien passé avec une voile qui monte bien symétrique, sans point dur en milieu de montée comme je l’avais senti en gonflage de test à l’atterrissage une heure avant. Bonne tempo dans le bon rythme et une course d’envol qui pourrait être encore plus progressive… Mais bien !
Vol : pendant près de 20 minutes j’ai fait de la prise de marque. J’ai été un bon gros boulet jusqu’à la fin de mon vol car je ne me suis pas aperçu que ma drisse de frein gauche avait fait un tour autour de mes « C »… Du coup j’ai passé tout le vol avec ce tour… Pas de grosses conséquences mais bon… un clair manque d’observation de ma part, je devais être plus concentré sur les sensation… et celle du frottement de la drisse m’a échappé !
Ce que je note : les freins sont beaucoup plus « mous » que sur la PI2 qui a une garde plus haute. Et la voile est très tonique en roulis. Il faut aimer. Moi j’adore. Elle est du coup beaucoup plus réactive au contrôle sellette et très dynamique à la commande une fois la commande bien engagée. J’ai pris du temps pour prendre mes marques puis j’ai commencé à vouloir monter. Ce que je n’ai pas bien réussi à faire au début : je n’ai pas bien centré mes thermiques et je suis pas mal ressorti. Un peu gêné au niveau du placement avec les nombreuses ailes en l’air. Puis j’ai enfin trouvé une bonne porte d’entrée en circulant en 8 dans la combe et je me suis retrouvé au Charvet. Du coup vu l’altitude je me suis dit que ça pourrait être sympa d’aller se promener ! J’ai donc filé jusqu’au col du frêne en croisant deux ailes et surtout un rapace passé très près !
Le retour a mis plus de temps avec un peu plus de vent dans le pif mais du coup j’en ai profité pour tester mon accélérateur. Une fois revenu vers le décollage j’ai rejoins Sylvain sous son Icaro puis enchaîné quelques 360 après avoir fait du tangage. La voile est d’ailleurs moins engagée en tangage qu’en roulis… Du coup, la course de frein étant longue, combinée avec moins de ressenti (sans doute pour une première fois) en tangage, mes balançoires étaient moins engagées que sous la Pi2. Et les tempo moins fortes du coup. Je me pose la question de raccourcir un peu les freins pour avoir une garde moins basse et plus dynamique notamment pour les mouvements de tangage.