Date : 30 Juin 2019 Site : Le sire Vent : Sud-Sud-Ouest Brise : peu installée (mais le sud suffisait) Voile : Advance PI2 Heure de départ : 08h30 Temps de marche : 1h17 Dénivelé/Distance de la marche : 1100m / 4,2km Heure de décollage : 10h10 Temps de vol : 13’
Décollage : face voile, très bien. J’aurai pu mettre un peu plus de ventrale pour décoller plus tôt
Exercices en vol : engagement en 360, tangage tempo, 180 dynamique pendulaire.
Atterrissage : par vent nul. J’aurai du vérifier le sens du vent avant de poser… mais ça n’a pas été gênant.
Temps de marche : en fait j’ai fait un combiné vélo marche vol… Parti de la plage des mottets en vélo pour 8,8km puis marché de l’atterrissage au déco et vol en bas…24’ de vélo et 54’ de marche.
Dénivelé/Distance de la marche : 8,8km de velo/140d+ / power hike 600d+ 4,2km
Heure de décollage : 18h50
Temps de vol : 12’
Décollage : premier décollage après l’accident. Face voile, pas de difficulté
Exercices en vol : descente rapide pour rejoindre Caro et les enfants mais ça descendait pas trop… Du coup j’ai pas mal fait les oreilles et fait du roulis et autres
Atterrissage : super propre devant Dorian bien face au vent tout tranquille
Remarques : content de m’être remis en l’air rapidement. Monté avec Sylvain qui m’a fait des super photos au décollage ! Merci Sylvain !
Dénivelé/Distance de la marche : 4.3km / 600+ – passé par le bas “côté les fontaines” avec Sylvain qui est en convalescence mais on est quand même bien monté (45’)
Heure de décollage : 18:30
Temps de vol : 1h38’
Décollage : Face voile sans difficulté, légèrement travers droit du décollage.
Exercices en vol : Tenir en vol pour aller jusqu’au Revard. Ce qui n’était pas prévu et que je n’ai pas réussi à faire.
J’ai rapidement pris de la hauteur au dessus du décollage jusque vers 1100m environ. J’ai ensuite transitionné avec les autres en direction du second bloc après le malpassant.
J’ai réussi à bien monter jusque vers 1200m à cet endroit puis j’ai effectué une première bonne transition en direction perthuiset. Je n’y ai rien trouvé en thermique juste de quoi zéroter… je suis donc revenu vers le bloc précédent… j’ai croisé Marc et je lui ai dit que je n’avais rien trouvé… il arrive sur place et commence à bien monter. De mon coté je réussi à remonter sur la bosse précédente jusque vers 1100m. Lorsque je vois Marc et Steve réussir à tant monté là où j’étais…je réeffectue la transition pour arriver à leur niveau. Lorsque j’arrive sous eux ils sont déjà bien montés et ça ne performe pas autant… du coup je reeste à mnter dans du plus petit visiblement… et eux partent déjà en appuis vers le revard en se laissant déporter… Arrivé par deux fois à 1250m je tente d’aller sous les pentes du revard mais mˆeme en ne perdant pas ou peu d’altitude, le sol se rapproche dangereusement et une fois sous le revard je suis contraint de faire demi-tour pour retourner au perthuiset. Je remonte alors avec Sylvain qui m’indique que je dois plus serrer mes virages en thermique… je remonte bien une secnde fois mais n’arrive pas à me déporter… et vu l’heure… c’est comliqué de faire mieux. Sylvain semble vouloir me montrer un chemin le long des pentes mais je ne cmprends pas qu’il veut que je le suive. Pendant ce temps, Marc a bien accroché le Revard et commence à revenir. Je fais quelques allers/retours au Malpassant. Les thermodynamiques s’effacent et je suis contraint de descendre… Je fais alors quelques bon exercices de tangage, de 180 dynamiques et entrée en 360 et des mini wing.
Atterrissage : pas très bon car toujours trop de hauteur en entrée de terrain. je suis donc obligé de rentrer sur le terrain et faire un dernier virage un peu serré pour ˆetre bien calé… Pas pire mais encore du boulot pour etre top.
Remarques : Vol avec Sylvain (en SUSI3 16m²), Steve et Marc
Brise : s’installant au moment du décollage (au soleil)
Voile : Advance PI2
Heure de départ : 07h05
Temps de marche : 2h pour le sommet (1h40 pour la zone de décollage), 2h40 à 3h au total pour l’aller/retour au sommet
Dénivelé/Distance de la marche : 7.2km pour le sommet avec 1170D+, 8,7km au total
Heure de décollage : 10h30
Temps de vol : 9’
Marche : suivre le sentier marqué qui part à gauche du col du frêne en venant du coeur des bauges, rien de difficile, la dent est moins commode mais bien câblée. Voir : le move sur strava
Décollage : premier décollage hors cadre officiel. Nous avons décollé dans la pente sous la dent d’Arclusaz exposée Ouest-Nord-Ouest. Vers 10h00 le soleil a commencé à se montrer sur la face, et la brise s’est donc naturellement installée. Il ne faisait pas grand beau (notamment en bas) où le vent de Nord-Est était faible mais présent. La pente est bien marquée et le décollage s’est fait sans soucis. Dos voile mais bien décomposé et bien porté tout de suite par la voile.
Exercices en vol : Pas spécifiquement d’exercises, mais prendre ses marques en terrain inconnu. Repérer le plan de vol comme il faut. Nous avons pris plein nord pour bien éviter la croupe qui était face à notre décollage. Une fois contournée, nous avons fait 180° gauche pour nous retrouver dans l’axe du col en faisant attention à bien identifier si un venturi se mettait en place et en restant vigilant.
Atterrissage : Pas le mieux que j’ai fait : je n’ai pas bien décomposé mon atterrissage car ma perte d’altitude a été plus marquée que ce que je prévoyais. J’aurai du rester plus au centre de la vallée plutôt que de me décaller légèrement à droite. Du coup je me suis considéré un peu trop bas pour faire ma PTU main G ou main droite comme je l’avais imaginé. J’ai donc posé vent de cul un peu trop vite… mais sans conséquence, dans le champs à gauche de la route juste avant Routhennes d’où nous sommes repartis jusqu’au col du frêne.
Remarques : Vol avec Jean, c’était vraiment super sympa !
Décollage : Dos voile, rien à signaler en particulier si ce n’est que j’ai fait ma prévol très vite (8 min chrono en me reposant des moins de 40’ de marche !)
Exercices en vol : rien de particulier juste profité de la réstitution rapidement pour faire plouf.
Atterrissage : vraiment au top bien allongé arrivé vers la fin de l’atterrissage comme prévu…
Remarques : Sylvain dans les airs au moment du déco qui zérotait, la mauvaise blague de me dire que c’était fort du coup j’ai été hyper attentif pendant tout le vol 😀
Décollage : “Merdique”. Face voile car il y avait beaucoup de vent. J’ai fait une première tentative que j’ai du avorter car je crois que j’ai pris une rafale. Dans l’ensemble j’étais plutôt mal positioné : trop à droite du décollage (sur les conseils d’un autre volant, mais il n’y avait personne là…) après avoir débriefé avec Sylvain j’aurais simplement du me mettre encore plus bas dans la pente sous les compétiteurs. Luc m’a aidé à remettre ma voile dans le bon sens puis me l’a mise en boule, en sortant les stabs, puis j’ai gonflé progressivement et marché vers la voile, mais j’aurai encore du me placer plus bas car j’étais trop haut sur la butte là où le vent s’accélère. Le vent était tout de même assez instable et peu laminaire au final… Du coup au moment de me retourner j’ai pas super bien géré, je me suis fait décaller vers la droite encore mais avec un coup de ventral c’est quand même bien parti tout seul (logique).
Exercices en vol : du Zérotage. trop concentré à retrouver Sylvain (qui n’avait pas de radio) je me suis mis au dessus de lui puis j’ai perdu pas mal d’altitude assez rapidement. alors qu’il remontait, je n’ai pas réussi à remonter, j’ai du coup zéroté car je n’ai pas assez serré mes virages proche du relief où l’ascendance était dynamique et non pas thermique et pas très forte à cause du vent de sud.
Atterrissage : J’ai vraiment vaché dans un champs… pas sur un atterro officiel car j’ai mal fait mon repérage en sortie de déco. je me suis retrouvé deux km plus loin, à Clarafond, au lieu de revenir vers Mery directement qui était beaucoup plus près du déco… j’ai encore beaucoup à apprendre en lecture sol… et je pense que je n’aurais très certainement pas fait cette erreur si j’avais été seul. C’est l’effet de groupe et le fait de vouloir suivre Sylvain qui m’a partiellement induit en erreur. Néanmoins lorsque j’ai choisi de m’éloigner du relief, j’ai posément considéré mes options pour l’atterissage et j’ai choisi un champs en particulier. J’aurai du me mettre plus au vent du champs. Mais à chaque fois que je faisais mes 8 je reprenais de l’altitude. J’aurais sans doute du les alonger plus… mais faute de mieux j’ai fait comme ça (le champs n’était pas très large). Suite à un dernier virage trop appuyé je me suis retrouvé en finale à 90° de là où je voulais poser et j’ai pris un gros appuis (gradient ?) du coup comme la place était quand même dégagée (j’avais quand même repéré que je pouvais me poser là où j’ai posé sans danger…) j’ai laissé la voile accélérer pour faire un bel arrondi final. Donc pas pire… mais pas ce que je voulais exactement.
Date : 01 juin 2019 Site : Verel Vent : N léger Brise : peu présente (restitution) Voile : Advance PI2 Heure de départ : 19:17 Temps de marche : 45’ Dénivelé/Distance de la marche : 600m pour 4,5km Heure de décollage : 20:15 Temps de vol : 16’
Décollage : j’ai du attendre quelques bonnes minutes au déco car pas ou peu de brise, assez variable. Le déco est grand et large et permet une bonne course sans soucis. Sur la vidéo j’ai l’impression d’avoir les bras un peu bas au déco (vu sur mon ombre), mais c’est peut être une idée.
Exercices en vol : juste du plaisir, pas d’exercise si ce n’est un peu de soaring le long de la falaise, mais la restitution était faible du coup je ne suis pas resté beaucoup en l’air.
Atterrissage : sans gros soucis mais cette fois j’ai été un peu plus long que d’habitude, du coup pas très content de mon atterrissage, j’ai du refaire un S sur le terrain et j’ai posé, plutôt face à la montagne car le vent commençait à être légèrement catabatique. Pas horrible mais pas le meilleur que j’ai fait alors que j’avais, je pense, bien construit mon approche, mais sans doute sous estimé la longueur avec laquelle je pouvais poser sur le terrain avec cette météo.
Remarques : rencontré quelques zéleph, à l’atterissage, puis en courant au sommet (qui m’ont indiqué le déco) et enfin un biplaceur au décollage, qui m’a gentiment rassuré sur les conditions du jour.